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Du lundi au vendredi, un journaliste du Service Culture reçoit un acteur de la vie culturelle, pour aborder son actualité et réagir aux initiatives artistiques en France et dans le monde.

Location:

France

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RFI

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Du lundi au vendredi, un journaliste du Service Culture reçoit un acteur de la vie culturelle, pour aborder son actualité et réagir aux initiatives artistiques en France et dans le monde.

Language:

French


Episodes
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Romain Pissenem: «Un show électro spectaculaire» pour la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques

9/5/2024
Dimanche 8 septembre 2024, se tiendra la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques au stade de France. Un grand show électro a été imaginé pour ce final avec 24 DJ représentant la variété des musiques électroniques françaises, un genre qui s'exporte dans le monde entier. C'est le producteur et metteur en scène Romain Pissenem, connu pour ses shows grandioses, qui a été chargé de traduire en spectacle l'énergie musicale des artistes. À lire aussiLes JO 2024 sont «clos», Paris transmet le relais à Los Angeles pour 2028

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Delphine Minoui, autrice du roman «Badjens»: «J’ai créé mon récit en respectant leurs langages»

9/4/2024
La journaliste et autrice franco-iranienne a publié fin août son dernier roman : Badjens (Espiègle) en français. C'est le surnom de l'héroïne, une jeune Iranienne de 16 ans au cœur du mouvement « Femme Vie Liberté », prête à brûler son foulard en public lors d'une manifestation à Chiraz. Inspirée par les destins tragiques de Mahsa Amini et Nika Shakarami, adolescentes martyres de la révolte, Delphine Minoui livre une transformation politique radicale, sous forme de monologue intérieur. Si vous souhaitez rencontrer Delphine Minoui, la soirée de lancement de Badjens se déroule ce soir, mercredi 5 septembre 2024 à Paris, à partir de 20 heures à la librairie Le comptoir des mots dans le XXème arrondissement. À lire aussiDelphine Minoui, romancière: en Iran, «"Badjens", c'est le cri de la génération Z»

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Cinéma: «À son image» de Thierry de Perretti, portrait d'une femme et fresque d'une génération

9/3/2024
En ce mercredi 4 septembre, jour des sorties de nouveaux films en salles en France, coup de projecteur sur un long-métrage qui raconte, de façon romanesque, 20 ans de la vie d'une femme, une photographe de presse. Adapté d'un roman de Jérôme Ferrari, ce film intitulé À son image, réalisé par Thierry de Peretti, prend pour toile de fond les années 1980-1990 sur l'île de Beauté, et l'évolution du mouvement indépendantiste Front de libération nationale corse (FLNC), sa scission et les dérives de la lutte armée. À lire aussiCannes 2024: «À son image», Thierry de Peretti raconte l’histoire de la violence en Corse

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Gaël Faye: composer des histoires pour permettre la discussion sur le génocide au Rwanda

8/29/2024
Huit ans après Petit Pays, son premier roman qui a connu un succès phénoménal, Gaël Faye, interprète et musicien franco-rwandais, publie son deuxième roman sous le titre Jacaranda, aux éditions Grasset. Le récit d'un jeune garçon né en France qui, en découvrant le génocide de 1994, décide d'en savoir plus sur ses origines rwandaises en allant sur place. Rencontre avec l'auteur qui vit désormais au Rwanda, où les commémorations des 30 ans du génocide ont eu lieu en avril. Retrouvez la version longue de l'interview de Gaël Faye dans Littérature sans frontières. À lire aussiGaël Faye: «Petit pays n’est absolument pas mon histoire»

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Catherine Sauvat écrit «Ils sont elles»: des autrices au pseudo masculin pour exister

8/28/2024
De Madame de Lafayette, autrice de La Princesse de Clèves, à George Sand, à l'œuvre prolixe, en passant par les sœurs Brontë, autant de femmes qui ont dû se faire passer pour des hommes pour publier leurs écrits en échappant aux préjugés contre « la littérature de femmes ». Ces parcours d'autrices, près d'une quarantaine, sont retracés dans l'ouvrage de Catherine Sauvat : Ils sont elles, paru aux éditions Flammarion. À lire aussiLéopold von Sacher-Masoch, un homme attachant

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Bassekou Kouyaté et Amy Sacko, premier album d'un couple virtuose

8/26/2024
Il est le maître du N'goni, cette guitare traditionnelle d'Afrique de l'Ouest ; elle, chante depuis trois décennies. Bassekou Kouayté et Ami Sacko, mariés à la ville, partenaires à la scène. Ils viennent de sortir leur premier album en commun, Djudjon, l'oiseau de Garana. Ils sont les Invités culture de RFI. À lire aussiDobet Gnahoré: un album dédié aux enfants en détresse

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Sur la route des déchets électroniques de l'Europe vers le Ghana

8/25/2024
Les journalistes Bénédicte Kurzen, Muntaka Chasant et Anas Aremeyaw Anas, lauréats de la 13e édition du prix Carmignac du photojournalisme, ont réalisé en images une enquête au long cours sur le parcours des déchets électroniques de l'Europe vers l'Afrique et notamment les filières ghanéennes. L'exposition Ghana : sur la route de nos déchets électroniques est à voir à la Fondation Manuel Rivera-Ortiz (MRO) dans le cadre des Rencontres de la photographie d'Arles jusqu'au 29 septembre 2024. ► Podcasts RFI pour approfondir sur la thématique des déchets électroniques : C'est pas du ventLes ravages des déchets électroniquesQuestions d'environnement : Comment préserver son téléphone pour limiter les déchets électroniques 8 milliards de voisins : Comment gérer nos déchets électroniques ?

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«Peau Neuve», l'album de la renaissance pour la chanteuse Nach

8/22/2024
La chanteuse Nach fait la tournée des festivals pour présenter son troisième album studio, intitulé Peau neuve. De son vrai nom Anna Chedid, la chanteuse trentenaire est la petite-fille de la poétesse Andrée Chedid, la fille du chanteur Louis Chedid et la sœur de M, Matthieu Chedid. Samedi 24 août, elle sera à l’affiche du festival Transe Atlantique à Saintes, en Charente-Maritime, dans le sud-ouest de la France. La programmation du festival Transe Atlantique est disponible ici. Retrouvez nos articles sur Nach sur RFI musique.

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Marine Lanier photographie le Lautaret, le plus haut jardin d'altitude d'Europe

8/21/2024
Aux Rencontres d'Arles, la photographe Marine Lanier présente en grand format ses clichés d'un jardin laboratoire, le jardin du Lautaret, le plus haut d'Europe, conservatoire unique de la flore alpine et des hautes montagnes de la planète, où des scientifiques étudient et mesurent l'impact du changement climatique. Marine Lanier, elle-même issue d'une famille d'horticulteurs et de paysagistes depuis cinq générations, raconte son expérience artistique et humaine. Retrouvez des informations sur l'exposition et d'autres photos ici. À lire aussiRencontres d'Arles: la ville de Beyrouth sous l'œil de la photographe libanaise Randa Mirza

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Jacques Audiard pour «Emilia Pérez»: «Ça m'intéressait de réaliser un film transgenre»

8/20/2024
Ce mercredi 21 août sort en salle, en France, un film qui a fait l'événement au dernier festival de Cannes : Emilia Pérez. Jacques Audiard avait décroché le prix du jury et ses actrices (Zoe Saldana, Selena Gomez, Karla Sofia Gascon et Adriana Paz), le prix d'interprétation féminine. Emilia Pérez raconte l’histoire d’un chef de cartel mexicain qui va changer de sexe et donc de vie. Rencontre avec le réalisateur Jacques Audiard à Cannes, en mai dernier.

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Rencontres d'Arles: la ville de Beyrouth sous l'œil de la photographe libanaise Randa Mirza

8/19/2024
Les rencontres photographiques d'Arles, dans le sud de la France, se poursuivent tout l'été. Isabelle Chenu y a rencontré la photographe libanaise Randa Mirza, qui montre en sept séries les transformations de Beyrouth au fil des crises traversées par le Liban, depuis la fin de la guerre civile.

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La Palme d'or d'honneur d'Alain Delon au Festival de Cannes était «la fin d'une carrière, d'une vie»

8/18/2024
Nous revenons sur la disparition dimanche 18 août à 88 ans de l’acteur Alain Delon avec notre invité culture, Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes. Alain Delon avait entretenu au long de ses 60 ans de carrière des relations compliquées avec le Festival de Cannes, jusqu'à la réconciliation il y a cinq ans avec la Palme d'or d'honneur que lui a remis Thierry Frémaux. À lire aussiAlain Delon, la mort d'une icône française à la notoriété planétaire

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Rencontres d'Arles: Stephen Dock questionne sa vie antérieure de photojournaliste de guerre

8/15/2024
Les Rencontres de la photographie se tiennent jusqu'au mois de septembre dans la ville d'Arles (dans le sud de la France). Une multitude de propositions photographiques venues du monde entier. Le Français Stephen Dock, 35 ans et aujourd'hui photographe d'architecture, revisite sa vie de photojournaliste de guerre et questionne ses images du conflit en Syrie, en Irak ou au Liban. Échos, photographies de Stephen Dock, exposées aux Rencontres de la photographie d'Arles, du 1er juillet au 29 septembre 2024. RFI : Vous êtes photographe et vous présentez, ici à Arles, les échos d'une vie antérieure, celle d'un photojournaliste. Vous êtes parti à 22 ans, sans commanditaire, couvrir le conflit syrien. Treize ans plus tard, vous avez changé de route et vous retravaillez, revisitez ces images de la guerre. Stephen Dock : C'est vrai que cette profession, ou ce mode de vie, m'a tout de suite fasciné pour de très bonnes raisons et aussi de très mauvaises. Très vite, je me confronte à une problématique, c'est la problématique financière. Un journaliste français qui, lors d'un dîner, va dire cette phrase : « Le premier journaliste qui arrivera à rentrer en Syrie, ce sera jackpot pour lui. » C'est à ce moment-là que je me mets en tête que, pour que cela fonctionne, il faut se rendre en Syrie à ce moment-là. Qu'est-ce que vous trouvez, quand vous arrivez en Syrie ? J'étais convaincu d'avoir fait le bon choix. Au premier échange avec un des hommes masqués, de l'autre côté, il m'a dit : « Bienvenue, vous allez être les yeux pour nous. » Et cela a été ma plus grande source de déception. Je pense vraiment qu'avec ce conflit, j'ai découvert la guerre, c'est-à-dire qu'il y a ni blanc, ni noir, il n'y a que des nuances de gris et personne n'a réellement raison. D'une certaine manière, vous prenez en pleine face la complexité de la guerre. Qu'est-ce que vous photographiez ? Qu'est-ce que vous découvrez ? Je découvre, à mon retour en France, un autre aspect complexe de l'histoire. C'est la diffusion de ces images. Ce qui a été le plus compliqué à encaisser, c'était la façon dont c'était réceptionné. Par exemple, en 2012, c'était la période de la bataille d'Alep. C'étaient les boulangers qui étaient bombardés et tous ces corps qui étaient entassés. On a vraiment assisté à cela. Je dis « on », parce qu'on est rarement seul dans des endroits comme ça... L'importance de ce fait, il n'était pas du tout retranscrit en France, même dans le monde, ou trop peu. Très vite, je me suis rendu compte qu'il y avait un plafond de verre à l'utilisation de ces images et au fait de poursuivre ma carrière de cette manière-là. Quel est l'élément, pour vous, qui va changer la donne ? En 2015, il y a eu une rupture, selon moi, c'était la retransmission de la bataille de Mossoul sur Facebook Live. On avait franchi une étape, il y avait des chaînes sur lesquelles on pouvait voir en direct le tireur en train de viser depuis sa maison, c'était impressionnant. C'est là que je me suis dit que l'on était réellement passé dans une forme de consommation du conflit, de consommation des images produites, qui nous amène, à mon avis, à se poser beaucoup de questions. C'est-à-dire que la violence ne dérange plus. Vous avez l'impression de jouer à Call of Duty devant votre ordinateur en regardant cela. Je vais poser des mots qui seront : « La guerre n'est pas un fait divers. » Et c'est à partir de cette idée que je vais déployer progressivement tout le travail qui est exposé aux Rencontres d'Arles. Cette année, vous avez retravaillé, revisité, revu certaines de vos images du conflit de l'époque, de 2011, pour en faire autre chose. Qu'est-ce que vous avez voulu transformer ? Ces images, pour moi, c'est vraiment ma capacité de reprendre en main mon discours. Je crée un regard d'auteur et je vais expérimenter, laver les images et donc questionner après, cette idée de : « L'image est-elle réelle ou non ? » Est-ce que cette exposition vous a amenée, vous-même, à vous questionner sur...

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«Tsuzamen», un dialogue musical entre Juifs, Arméniens et Tziganes

8/14/2024
Trois peuples en exil réunis dans un projet artistique fraternel : « Tsuzamen » – « Ensemble » en yiddish – rend hommage aux Juifs, Arméniens et Tziganes à travers leur patrimoine musical populaire. C’est le 7e album du Sirba Octet, un groupe de huit musiciens qui fusionnent musique classique et traditionnelle de l’Europe de l’Est depuis plus de 20 ans. Rencontre avec le fondateur et directeur de cet ensemble engagé, le violoniste français Richard Schmoucler. Tsuzamen, de l'ensemble Sirba Octet, publié le 20 janvier 2023 au label Sirba Records. À lire aussiPrintemps Tsigane à Aubervilliers et #SessionLive Oan Kim

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Arnaud et Jean-Marie Larrieu: «Le Roman de Jim, c'est l'histoire d'un lien paternel assez pur»

8/13/2024
Qu'est-ce que la paternité ? Un film, qui sort ce mercredi 14 août en France après avoir été en sélection au dernier festival de Cannes, traite de la question avec délicatesse. Inspiré d'un roman de Pierric Bailly, le Roman de Jim raconte sur 24 ans la relation entre un homme et le fils de sa compagne, qui décidera ensuite de refaire sa vie au Canada. RFI a rencontré ses réalisateurs, deux frères : Arnaud et Jean-Marie Larrieu. RFI : « Le Roman de Jim » [présenté à Cannes Premières cette année, NDLR], c'est l'histoire d'un lien très peu montré au cinéma, la paternité, le lien filial qui peut exister entre un homme, ici Aymeric joué par Karim Leklou, et un garçon qu'il élève comme son fils, sans qu'il n'y ait les mêmes gènes, sans qu'il y ait de papier officiel... Et qui, après, va en être privé à la suite d'une séparation... Qu'est-ce qui vous a touché dans cette histoire ? Arnaud Larrieu : Justement, cela... Et, encore plus, la manière dont Aymeric ne veut surtout pas officialiser l'histoire. Pour lui, c'est un peu la tuer. Il a ce rapport avec ce Jim et ça lui suffit largement. Il n'anticipe pas du tout la suite, il n'anticipe pas la guerre, il ne veut pas de la guerre. Lui, il est bien avec cet enfant, voilà et ça continuera. C'est un rapport d'attachement, je pense, qui peut arriver entre n'importe qui et n'importe qui. Cela s'appelle vivre ensemble, cela s'appelle se faire à manger, cela crée toujours des liens. Jean-Michel Larrieu : C'est peut-être pour cela que ce lien très particulier, on le voit peut-être d'autant mieux, ne se fonde ni dans le lien du sang, ni dans le lien juridique, l'adoption... Il est montré d'une manière assez pure. Alors après, c'est l'innocence du personnage que de penser que cette pureté va pouvoir être préservée au milieu de tout ce qui peut arriver dans une vie, les arrachements, l'amour qui s'éteint et surtout le retour du père naturel. Aymeric, c'est vraiment un gentil garçon ? Jean-Michel Larrieu : Karim, qui l'incarne, Karim Leklou, en parle assez bien. Il dit « mais, en fait, il y a beaucoup de gens comme ça qui ne se sentent pas forcément légitimes à dire "tout ça me revient" » et qui essaient de s'en sortir. Parce qu'en même temps, sa puissance, c'est qu'il avance. Il avance quand même toujours. Il essaie même de se reconstruire quand il est totalement détruit. L'autre mot qu'on aime bien, c'est quelqu'un qui « avance à vue ». Les scénarios nous font croire que les gens calculent et font des projets, mais tout de même, souvent dans la vie, on avance à vue. Arnaud Larrieu : C'est peut-être pour ça que le film aime les gens. D'ailleurs dans la vie, on est comme ça, le reste, ce sont des représentations, la méchante, le méchant, le mec qui vient récupérer son enfant... Ce sont des clichés de récits. En réalité, nos vies sont construites plutôt comme Le Roman de Jim. C'est très aléatoire. Est-ce qu'on se fait arnaquer ou non ? On ne saura jamais. Il y a tous les ingrédients du mélodrame, sans que ce soit appuyé dans votre film. Arnaud Larrieu : Ils y sont les codes. Bien sûr qu'il y a les violons, mais peut-être pas au moment exact où on les attend... Le départ à la gare, au Canada, il y a les violons. Jean-Michel Larrieu : Mais, au moment de l'émotion forte, c'est vrai qu'on les enlève toujours parce qu'on estimait que cela doit venir des personnages, donc des acteurs. On ne voulait pas faire « mélo »... Ce n'est pas de la manipulation. Il se passe des choses parce que ce sont les personnages, et les acteurs, qui les portent. Arnaud Larrieu : On voit les corps de tous les personnages... Et ils sont très différents, ces corps. Karim, l'enfant, Laeticia... Cela crée un réalisme qui fait que la matière n'est jamais étouffée par le genre. J'ai une histoire qui court sur quoi ? Vingt-quatre ans ? Cela a-t-il été un défi d'écriture, l'art de l'ellipse ? Jean-Michel Larrau : Un défi d'écriture, au scénario, puis beaucoup au montage. C'est quasiment un de nos films les plus courts....

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La chanteuse Jeanne Added se dévoile en acoustique

8/12/2024
C'est une tournée en parfaite harmonie avec l'air du temps que propose l'une des figures majeures de la pop française. À 43 ans, Jeanne Added laisse ordinateurs et boîtes à rythmes de côté pour mettre sa voix à nu. Dans Another place, another tour, la chanteuse, autrice et compositrice française propose des concerts en version acoustique où elle revisite le répertoire de ses trois albums dans des lieux intimistes et proches du public. Jeanne Added sera en concert les 3 et 4 septembre 2024 aux Francofolies de la Réunion À lire aussiJeanne Added, sur un air de rupture À lire aussiInvité culture: Jeanne Added, guerrière glorieuse Pour aller plus loin : Suivez toute l'actualité musicale de Jeanne Added sur RFI Musique

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Thomas Snegaroff: «Putzi était-il un clown ou surtout un monstre ?»

8/11/2024
On connaît Goebbels et Göring, deux notables nazis proches de Hitler. Mais qui se souvient encore d'Ernst Hanfstaengl ? Cet héritier germano-américain, qui fut pendant dix ans son confident et pianiste, a pourtant aidé le dictateur à conquérir le pouvoir. Thomas Snegaroff a adapté en bande dessinée, publiée chez Futuropolis, son roman à succès intitulé Putzi, le surnom de ce personnage, traître pour les uns, bouffon grotesque pour les autres. Putzi, de Louison et Thomas Snegaroff, publié aux éditions Futuropolis, 2024. À lire aussiLa résistance allemande face au nazisme: l'inextricable enfer du totalitarisme

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«Un geste vers le bas»: le tendre hommage de Bartabas à Pina Bausch

8/8/2024
C'est une histoire entre deux grands : les deux B, comme on les appelle dans le monde du spectacle. Bartabas, inventeur du théâtre équestre avec sa compagnie Zingaro et Pina Bausch, la grande dame de la danse contemporaine à la tête de la compagnie Wuppertal en Allemagne. Durant dix ans et de longues nuits, Bartabas joue l'entremetteur entre son amie Pina et son cheval Micha Figa. Une relation délicate se noue entre la grande chorégraphe et l'animal. Et Bartabas en livre un récit plein de tendresse et empreint de poésie. Un geste vers le bas est paru aux éditions Gallimard. À lire aussi« Noces de crins » de Bartabas, la mise en selle d'une union

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Rencontres d'Arles: Mabeye Deme raconte le Sénégal à travers son objectif

8/7/2024
Comme chaque année depuis 55 éditions, Les Rencontres de la photographie se tiennent dans la petite ville d'Arles, dans le sud de la France. Quelque 145 000 personnes viennent, de juillet à septembre, admirer les propositions diverses de photographes du monde entier. Le photographe franco-sénégalais, représenté par la galerie Art-z réalise, depuis dix ans, des clichés sur le Sénégal qu'il a quitté enfant. À lire aussiRencontres d'Arles: Cristina de Middel raconte l'épopée héroïque des migrants du Mexique

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«Super papa», de la réalisatrice Léa Lando: «J'ai demandé aux enfants leurs rêves les plus fous»

8/6/2024
Les cinémas restent ouverts pendant les Jeux olympiques ! Les exploitants misent sur des films grand public pour remplir les salles. Ce mercredi sort justement en France une comédie familiale à même d'attirer enfants et parents : Super papa. Ce film comique et émouvant raconte l'histoire d'un père prêt à tout pour exaucer les rêves de son fils, même les plus fous. À lire aussiDeadpool au box-office: une bouée de sauvetage pour la franchise Marvel

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